paragraphe 17

La peur vous gagne lorsque vous posez le pied sur le palier du 1er étage.
Mis à part le faisceau de la lampe tout est noir et vous n’êtes pas rassurés.
Sans elle, vous distinguez à peine la silhouette de votre binôme qui pourtant se trouve à moins d’un mètre de vous. Vous ne pouvez pas parler risquant ainsi de vous faire repérer. Vous devez uniquement compter sur votre sens du toucher et ainsi ressentir sa présence.
Une fenêtre au fond du couloir et obstruée par ce qui semble être un matelas ou un lit, d’ici vous ne pouvez en être sur.
Plusieurs portes se font face dans le couloir qui mesure une dizaines de mètres.
Frôlant les murs vous progressez, le souffle court.
Vous entendez un bruit et votre cœur s’emballe. Vous arrêtez votre progression cherchant grâce à la lampe d’où provient le bruit.
Une réponse vous apparaît. Deux contaminés débarquent dans le couloir en courant.


Au même moment un autre se jette sur Simon, vous prenant en tenaille.
Vous vous retournez par automatisme, votre ami est maintenu par terre par cette créature, l’empêchant de faire feu. Le temps qu’il vous faut pour de nouveau vous tourner vers les deux autres, ceux-ci sont déjà sur vous. Vous avez toutefois le temps de tirer sur l’un d’eux, qui tombe au sol, une balle dans la tête. L’autre en profite pour agripper votre poignet tenant l’arme et tente de vous faire lâcher prise.
l’infecté fait preuve d’une force incroyable et vous peinez à le mettre en joug.

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